La disparitition de Mylène Riou, le 1er décembre a jeté un voile de tristesse sur le monde de la danse castelroussin. La danseuse et chorégraphe était, la vie, le tourbillon de la danse contemporaine dans lequel elle avait entrainé des générations de jeunes danseurs. La maladie a été la plus forte. Sa disparition laisse un grand vide au sens propre du mot, à la tête de son école de danse évidemment, mais aussi dans l’animation de la vie culturelle puisqu’elle produisait des spectacles, dont le dernier « Made in Jazz» avec la complicité de Nadia Coulon, l’autre grand nom de la danse à Châteauroux. Quid du stage de Pâques, du grand spectacle de fin d’année ? Il est trop tôt pour répondre à ces questions. Pour le moment c’est la peine qui habite tous les amis de la danseuse, comme en a témoigné la multitude de réactions, dont celle de Nicolas Pires, le diaboliste castelroussin qualifié pour la finale de l’émission «La France a un incroyable talent» qui avait travaillé avec elle la chorégraphie de son spectacle.
