En bref/Covid-19 : Encore des marchés, des entreprises, des hôpitaux


Le préfet de Loir-et-Cher cinglant

Pour l’ouverture des marchés locaux, le maire dit saisir le préfet par courrier ou courriel. Concernant le marché de Vendôme, Yves Rousset est rapidement monté au créneau, indiquant que « contrairement à ce qui a été dit et écrit, la demande est actuellement d’instruction. » Fin de la polémique. Un arrêté de dérogation a été accordé à Montoire. Il est également rappelé que les points de vente, réunissant au plus trois producteurs locaux (comme à Blois), ne nécessitent pas de dérogation, même si les forces de gendarmerie et de police doivent en être dûment informées, et le respect des gestes barrières, sous la responsabilité du maire concerné, respectés.

Entreprises : éclairage en ligne

Depuis le début de la crise sanitaire, DEV’UP a engagé un important travail de recensement des différents dispositifs de soutien proposés aux entreprises du Centre-Val de Loire touchées par l’épidémie de Coronavirus, ainsi que des contacts locaux, régionaux et nationaux pouvant les aider. Entrepreneurs et acteurs économiques peuvent trouver les réponses et les contacts dans le document mis en ligne (et réactualisé quotidiennement) sur le site Internet http://www.devup-centrevaldeloire.fr

L’hôpital de Blois paré ?

Le centre hospitalier Simone Veil de Blois a déclaré pouvoir ouvrir jusque 100 lits pour faire face à la crise sanitaire, sans omettre des possibilités à Romorantin et Vendôme. En chiffres, 27 patients atteints du Covid-19 sont en ce moment accueillis (39 lits dédiés). Les tests manquent, ce n’est pas un secret : pour preuve, seulement 80 tests par jour pour l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher et l’Indre, au CHU de Tours.