Sage conseil après le confinement…


Elle trône, parmi des dizaines d’autres plaques, dans la salle du Café Fluxus à La Fondation du Doute de Blois où on sert des cafés et d’autres boissons chaudes ou fraîches, mais aussi des denrées solides pour se sustenter sans engager des folies tant gastronomiques que chères, en matière de chaire… Elle exprime, surtout, à la sortie d’un long confinement semi-printanier et estival, le fait que les consommateurs ayant retrouvé le chemin des circuits courts auprès des producteurs locaux à la ferme, en direct, ou ailleurs dans des boutiques adéquates y consacrées, expriment le désir de mieux manger, plus sainement, plus équilibré, plus proche de la nature…
Et Ben a résumé en peu de mots une règle de conduite qui devrait entraîner, même, en cas d’application stricte de cette «saillie», bien des économies aux services de la Sécurité sociale de notre pays, vu tout ce qui est consommé et donc investi en produits pharmaceutiques ou parapharmaceutiques appelés à faciliter le transit et autres laxatifs, dits de confort…, après avoir mal et vite mangé ou consommé. Si cette pancarte se trouve, ainsi affichée, dans un lieu recevant du public, elle pourrait trouver place, ailleurs, dans toutes les salles de restaurants, auberges, gargotes, self-services, cafétérias, aires de stations d’autoroutes de France et de Navarre proposant tout produit consommable, à la vente, à condition qu’il soit avant tout…mangeable, ce qui n’est pas, encore, le cas partout.