Sancerre – Dédicace de Chérif Zananiri


Dimanche 4 juin au Café Librairie de Sancerre

Chérif Zananiri sera présent au Café Librairie de Sancerre, Rue des Piliers, dimanche 4 juin toute la journée, journée de foire au vin. Il sera heureux de vous y recevoir et parler avec sa faconde habituelle de ces derniers romans.

Son dernier ouvrage Mado, Retour de l’enfer, est paru il y a quelques semaines aux éditions Marivole.

Au départ de Gilbert pour la Grande Guerre, Mado son épouse, sait qu’elle doit survivre. Elle rouvre sa boutique de cordonnier, fait venir le père Émile pour apprendre le métier et s’installe, avec succès, en nouveau patron. Malgré la réussite de son entreprise, Mado apprend à vivre avec l’angoisse de la guerre, l’attente du mari, l’espoir d’une permission souvent déçu… Au fil des permissions et des lettres qu’elle reçoit, Mado s’aperçoit que le poilu aguerri devient une bête de guerre, oubliant, souvent, une partie de son humanité. Elle s’applique alors à offrir à son époux les meilleures conditions pour son retour. Mais cela suffira-t-il ? Un beau récit de femme, volontaire et courageuse, qui essaie de rester digne pendant l’absence de son mari et espère retrouver une vie de famille dès son retour. Ce livre plein d’humanité évoque la vie compliquée des femmes dont les époux étaient partis sur le front pendant la Grande Guerre, elles devaient se passer de leurs maris, prendre leurs places à la maison, tenir leurs échoppes… elles devenaient chef de famille.

« Un fringant récit »

Octave, blog Grégoire de Tours

« Avec « Mado, Retour de l’Enfer », Chérif Zananiri signe un superbe parcours de femme sur fond de Grande Guerre. L’écriture très légère et précise de Chérif Zananiri participe au plaisir de la lecture. Un roman à dévorer, sans modération… »

Michèle Dassas, auteure

« Il émane de l’auteur une grande sensibilité aux questions humaines qui lui permet de faire partager au lecteur son humanisme sans verser dans la sensiblerie et la surenchère pathologique, même s’il a eu le courage littéraire de conclure son roman sur une note très tragique. »

D.C.