Un nouveau trophée pour Maria Torrelli-Lionné


Maria Torrelli, habitante de Bracieux, avait avec son dernier roman, “Le rêve de Rolan”, remporté en Italie le prix Cesira Doria Ferrari. Mais ce n’était qu’un début.
La cérémonie officielle organisée par l’académie et association culturelle “Italia in Arte nel Mondo”, s’était déroulée le 18 décembre 2019 à Lecce, ville située dans la péninsule du Salento. L’auteure a décroché, cette-fois ci, le 3 avril 2020, une succession de prix qui lui ont conferé le Grand Prix du Conseil départemental de Loir-et-Cher, décerné par l’Académie Internationale de L’École de la Loire. En 2018, elle avait déjà reçu le Grand Prix du Conseil Régional du Centre de L’École de la Loire. « Ce Grand Prix décérné au mois d’avril prouve que notre Département soutient et respecte ses auteurs et que la culture, ici sous ses formes littéraires. Je suis fière de cette Médaille dédicacée par Monsieur Nicolas Perruchot et de celle de 2018 décernée par Monsieur François Bonneau, car même si ces deux Grands Prix ne me rapportent rien, ils demeurent pour moi le témoignage de mon intégration et de mon lien avec ma région d’accueil, puisque, ne l’oublions pas, l’École de la Loire a été fondée en 1922 par un « enfant du pays », Hubert Fillay, associé à Jacques-Marie Rougé. »
Sa méthode, ses conseils réitérés
« Mon domaine d’investigation se concentre autour de l’être humain, de ses particularités, de sa psychologie, de sa beauté intérieure. Je travaille surtout par intuition et par écoute. Le silence et la solitude de ma chambre sont mes interlocuteurs. Je réfléchis beaucoup avant d’esquisser un poème que je déroule le plus souvent comme un scénario, sans oublier toutefois le côté émotionnel qui est le moteur principal de mon inspiration. Mon écriture est rarement spontanée, mais elle reste toujours le fruit d’une émotion mûrie. L’introspection est mon champ d’action. Le premier conseil que je souhaite donner à ceux qui veulent concourir, serait de ne pas hésiter à participer aux concours, car c’est le meilleur moyen de s’évaluer et de progresser, aussi de se surpasser. Si vous n’êtes pas retenu tout de suite, ne vous découragez pas, car il ne s’agit pas ici du mauvais esprit de la compétition mais il faut envisager votre participation comme un lieu de comparaison positive entre passionnés. » La succession des prix qui lui ont permis d’obtenir le Grand Prix au mois d’avril est la suivante : Le Prix d’Excellence pour une nouvelle : « une autre… encore ! », le Prix Spécial du Jury pour un nouveau Recueil : « Hommage en règle et liberté », le Prix du Jury pour l’acrostiche « Jules Sitruk », le 1er Prix de Poésie classique-Thème de l’Écrivain pour « À nos phares ou maîtres voyants », le 1er Prix de Poésie classique-Thème du Rêve pour « Rêve de Muse » avec le Prix du thème libre pour « Naissance », le Prix de la plus belle lettre pour « À Renart » et le 2ème Prix pour ses Haïkus intitulés « Hommages ». A découvrir également, un recueil de Poésie « A Cœur ou Vers ». En préparation, un recueil poétique qui sera intitulé « Hommages et Dédicaces ».
F. Tellier
maria.torrelli@orange.fr
http://www.torrelli.fr/