Numéro 100 : toujours jeune … et dynamique


UneVoici près de 5 ans que reparaissait le Petit Berrichon, les nouveaux patrons de la société éditrice avaient souhaité relancer ce gratuit, petit frère du Petit Solognot.
Aujourd’hui votre Petit Berrichon fête son numéro 100. Ils n’étaient pas nombreux à croire en nous, ils étaient nombreux à pronostiquer une vie plus courte (nous ne donnerons pas de noms !). Ils étaient nombreux aussi à nous prendre pour des fous en cette période difficile pour la presse sous toutes ses formes mais nous avions l’enthousiasme, la passion de la communication, l’amour du Berry – comme le dit Jean Miot, berrichon émérite : la France, c’est le Berry avec quelques provinces autour-. On voulait se faire plaisir et vous être agréables.
Au fil des mois, le contenu et l’aspect du journal ont évolué, toujours dans le souci de donner davantage satisfaction à nos lecteurs. Dans le contenu, effectivement, en écoutant vos conseils, vos désirs, mais aussi dans la présentation.
Un journal c’est un peu comme un être vivant. Les premiers pas sont difficiles, hasardeux et personne ne pouvait dire quel adulte ferait cet enfant fragile et mal assuré.
Mais le Petit Berrichon semble jouir des qualités de ces gamins du Berry de jadis. Au fil du temps il a pris du poids et de la force. Dans beaucoup de maisons on le lit, on l’attend, on le garde. Il est devenu un compagnon.
Le Petit Berrichon, c’est votre journal. Il est toujours à l’écoute de vos suggestions, de vos souhaits. Vous êtes nombreux à nous lire. Vous le serez encore davantage, c’est notre espoir.
Le Petit Berrichon profite de ce numéro 100 pour remercier tous ses fidèles annonceurs, les artisans, les industriels, les commerçants du Berry, de Bourges, de Châteauroux, d’Issoudun et de tous ces merveilleux villages. Nous remercions également les commerçants qui le mettent à votre disposition. C’est grâce à eux et avec eux que nous avons pu et que nous pourrons continuer à vous informer et vous divertir.

N’oubliez-pas,
Le Petit Berrichon est vôtre, GRATUITEMENT VÔTRE.
Frédérique Rose – Gérard Bardon