L’hiver approche, le Département se prépare



Un réseau routier sûr et de qualité. Cela va sans dire mais il est toujours bon de le rappeler : c’est une priorité pour le Département qui est, une nouvelle saison, mobilisé pour la sécurité de tous et toutes.
La douceur est encore là, les cadeaux ne sont pas encore au pied du sapin mais le dispositif de viabilité hivernale sera activé dans le Loir-et-Cher dès le lundi 4 décembre 2017 et jusqu’au lundi 5 mars 2018. L’occasion de rappeler que le Conseil départemental s’engage tout au long de l’année pour garantir des déplacements sûrs et fluides. Les agents départementaux sont prêts à intervenir rapidement sur tout le territoire, 24h/24 et 7j/7. « Nous consacrons une part importante de nos investissements pour concevoir, construire, entretenir et sécuriser le réseau routier départemental. En période hivernale, nous sommes particulièrement attentifs aux aléas climatiques et aux conditions de circulation. Nous mettons tout en œuvre pour que nos routes soient praticables en toute sécurité. » précise Nicolas Perruchot, président du département. Pour faire face aux intempéries hivernales, plus particulièrement le verglas et la neige, vous l’aurez compris, un dispositif spécial est mis en place pour une action au plus vite et au mieux.

Chacun peut rouler tranquille
Côté chiffres, près de 200 agents du Département travaillent à la sécurité des routes ; 47 agents sont en astreinte permanente du 4 décembre 2017 au 5 mars 2018 ; 17 camions équipés de saleuses et lames interviennent sur 18 circuits dont un préventif traitant certains ponts et axes sensibles de la périphérie blésoise. Un stock de sel initial de 5 000 tonnes est prévu pour parer à un évènement neigeux exceptionnel d’une semaine. Pour se rendre bien compte des volumes, lors de l’hiver précédent particulièrement doux, 250 tonnes de sel ont été utilisées pour un coût total (hors frais de personnel) de 450 000 €. En dehors du réseau routier départemental, la mise en œuvre du service hivernal est assurée par Cofiroute sur les autoroutes, par l’État sur la RN 10, par les communes sur les voies communales et par les communautés de communes sur les voies communautaires.